Devenu un incontournable des nuits parisiennes, le Rex Club tel qui se présente aujourd’hui est le résultat de nombreuses transformations. Auparavant appelé Le Rêve, le club mythique à l’architecture Art Déco acquiert son nom actuel en 1973. Dès l’arrivée de Christian Paulet en tant que régisseur en 1984, la programmation switche petit à petit vers le rock alternatif et les musiques indépendantes. Après une première soirée jungle en 1988, c’est en 1995 que le club prend un tournant 100% électronique et accueille progressivement les plus grands talents internationaux, confirmés ou en devenir : Laurent Garnier, Carl Cox, Jeff Mills, Kerry Chandler…

Depuis 1995, le Rex Club n’avait pas connu d’importants travaux. Il était donc temps pour le bâtiment classé monument historique de subir quelques modifications, notamment au niveau du booth de DJ et de la scénographie. Un des objectifs principaux de ces rénovations est donc de repenser la cabine de DJ pour qu’elle puisse se scinder en deux en fonction des événements. L’autre nouveauté sera le changement du parc de light et du plafond, sur lequel se projetteront des scénarios différents en fonction de l’heure. Ces transformations seront assurées en collaboration avec le studio Matière Noire, qui a notamment travaillé pour le club Carbone et pour plusieurs défilés de mode. Enfin, la partie concert devrait retrouver sa place au sein de la programmation. 

Avant sa fermeture temporaire à la fin du mois, le Rex Club organise 14 soirées à la programmation techno et house pointue, entre Traumer, Julian Muller, MrD ou encore Mama Snake. Retrouvez toutes les informations sur la page Facebook événements et sur la billetterie.