Ça va swinger au bord de la Méditerranée ! Pour sa première édition open air les pieds dans les galets, Label France branche les amplis en pleine capitale azuréenne le dimanche 11 juin et invite les maîtres du groove.
Il était une fois… Label France, le nouvel évènement à ne pas manquer pour les amoureux de bonnes vibes ! Plus qu’un simple open air, Label France souhaite promouvoir les lieux emblématiques du patrimoine français à travers des évènements culturels en mettant en scène musique électronique et gastronomie locale.
À vos agendas ! Le premier event a lieu le 11 juin prochain de 12h30 à 22h30 sur la plage Le Temps d’un Été, Promenade des anglais. Pour marquer le coup, les organisateurs ont fait appel aux meilleurs. Le belge Ricky Razu au swing unique a été annoncé tout comme l’iconique duo de producteurs allemands COEO. Les petits princes français de la House Herr Krank et Deborah Aime La Bagarre partageront les platines pour un B2B enflammé. Enfin, le collectif Dusty Nation créé par deux Niçois enverra sans aucun doute du son tanto bastos 90’s Housy tanto breacké, acidulé, groovy ou microwavé.
Retrouvez toutes les informations sur l’évènement Facebook et la billetterie.
Du vendredi 2 au dimanche 4 juin, le festival We Love Green revient sur la Plaine de la Belle Etoile, au coeur du Bois de Vincennes. Pour cette 12ème édition, voici les 8 artistes à ne pas manquer sur la journée du samedi.
Channel Tres
Sheldon Young aka Chanel Tres est l’un des rares artistes qui propose une ligne artistique ultra complète. En mêlant l’énergie de la techno de Detroit, le groove de la house de Chicago et le grondement du rap de la West Coast, le producteur américain marque les esprits par son charisme hors du commun, sa voix d’outre-tombe et ses DJ sets iconiques. L’occasion d’entendre son dernier track « Lose My Mind » en featuring avec le DJ et producteur britannique Jamie Jones.
Agar Agar
À travers leurs productions, le duo électro-pop français composé de Clara Cappagli et Armand Bultheel nous invite à plonger dans leur univers musical à la fois sombre et introspectif, teinté de sonorités électroniques hypnotiques et de voix envoutantes. Après la sortie de son nouvel opus « Player Non Player », Agar Agar est l’un des rendez-vous incontournable de cette édition 2023.
Honey Dijon
Née et élevée à Chicago, Honey Dijon s’est taillée une place à part dans le monde de la musique électronique underground. Associée à des sets multigenres d’une grande finesse et à un chaos total sur le dancefloor, la DJ et productrice séduit par sa polyvalence et éblouit le circuit des clubs comme de la mode aux quatre coins du monde. Un set à ne surtout pas manquer !
Mad Rey + Jwles
Mad Rey et son acolyte Jwles débarquent à We Love Green ! Le génie de la House, figure de proue des labels parisiens D.KO Records et Ed Banger s’associe une nouvelle fois à l’un des fers de lance du rap français, promesse d’un échange avec le public entre bangers house et hip-hop.
Darkside
Après de longues années passées séparés, We Love Green s’apprête à accueillir le duo mythique Darkside composé du musicien électronique et vocaliste chilien Nicolás Jaar et du multi-instrumentiste américain Dave Harrington. Explorant autant le blues que l’ambient, la house et le rock psychédélique, Darkside signe son grand retour sur le sol européen depuis 2014. Un date à ne surtout pas manquer !
Miss Monique
Miss Monique est peut-être la DJ féminine Progressive House la plus reconnue en Europe. Ukrainienne, elle fait ses débuts à Ibiza ainsi que des centaines de show à travers le monde. Son mélange éclectique de trance, de house progressive et de techno lui confère une polyvalence allant aussi bien aux salles intimes qu’aux têtes d’affiche des festivals. L’occasion d’écouter son dernier track « Concorde » sur Cercle Records !
Anaco
Animée par la volonté de sculpter des atmosphères et des moments à part, Anais est connue pour ses sets dans lesquels elle joue avec le temps, avec les corps et avec les esprits. La DJ Originaire de Bilbao aux influences jungle, footwork, ghetto tech, UK garage, reggaeton nourrit également son style des scènes contemporaines qui mélangent de plus en plus les genres de manière créative.
Pedro Winter présente Ed Banger XX
20 ans, ça se fête, non ? Véritable fusée à propulsions pour les carrières de Justice, Breakbot, Uffie, DJ Mehdi, Cassius, Mr. Oizo notamment, l’ambassadeur de la French Touch électro Pedro Winter aka Busy P célèbre cette année les 20 ans de son mythique label Ed Banger. Le chef d’orchestre de cette colonie des génies de l’électro française célèbre ce moment derrière les platines de We Love Green, promesse d’une fête gigantesque !
Vendredi 2 juin, le collectif parisien Cookie Records embarque sur le joyau flottant du 69 Port de la râpée avec 9 artistes aux univers variés pour une sublime boat party à 3 scènes.
Parmi les péniches amarrées sur les quais de Paris, Le Mazette et son célèbre rooftop font figure de point d’ancrage festif. Dotée d’une vue imprenable sur la Seine, cette guinguette s’apprête à accueillir le collectif et label indépendant Cookie Records pour une belle escapade nocturne.
Créé en 2018 par Alexis Camous, Cookie Records lance son top départ de la saison des open airs. Après avoir enflammé la prairie du canal samedi dernier, les résidents du label Joe la Panic, Tonton Al, Bolivard et le quatuor Later s’apprêtent à faire vibrer le bateau au rythme des basses chaloupées, des percussions et des sonorités électro du monde entier.
Pour accompagner le coucher de soleil et le début de la nuit, la jeune scène locale est mise à l’honneur avec le DJ et producteur NAO, le collectif féminin Pépite en Piste, le producteur Butters Keaton sans oublier le producteur Courier Sud et ses sonorités électroniques méditerranéennes à la fois nostalgiques et réconfortantes.
Pour l’occasion, Cookie Records souhaite marquer le coup ! Le collectif parisien propose à chacun.e de venir avec un (petit) cadeau et de l’offrir à un.e inconnu.e du dancefloor, un.e artiste ou bien un membre du staff.
Ami.e.s de la fête folle, de la fête gourmande, de la fête inclusive et de la fête bienveillante, le festival de la gastronomie et des musiques électroniques La Douve Blanche revient les 7, 8 et 9 juillet prochains en Seine-et-Marne pour célébrer sa 9ème édition dans les douves du Château d’Égreville.
C’est l’histoire d’un lieu hors du temps qui ouvre ses portes chaque été ! À seulement 1h30 de Paris en voiture, le château classé à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques (I.S.M.H) et son domaine se transforment en un immense terrain de jeu culinaire et audiophile destiné au partage de la musique, du bien manger et du bien boire.
Plus de 40 artistes et chef.fes à l’affiche
Côté programmation, le festival a déjà annoncé la brochette d’artistes qui fera bouger les festivaliers à base de musique électronique et de pop. Retrouvez la Marocaine GLITTER55, la DJ productrice et live performeuse Calling Marian, le chanteur Oscar EMCH à mi-chemin entre la pop et le RnB ou encore Romain FX, Radio Nova Sound System, DVDE, Marina Trench, Bande de Filles et bien d’autres.
Partie intégrante de l’ADN de la Douve Blanche depuis ses débuts, la variable gastronomique du festival proposera une scène d’expression aux talents français des arts de la table et réunira les festivaliers autour de moments privilégiés dont la convivialité, la gourmandise et la découverte seront les maîtres mots. Le Festin des Chef.fes, la Scène Culinaire et le Food Court seront les différentes expériences proposées pour une restauration festive et engagée.
Cerise sur le gâteau, pour 2023 les organisateurs souhaitent diminuer leur impact environnemental. L’eau de pluie servira à alimenter les douches et les toilettes, les bouteilles en plastique ne seront plus autorisées et une vaisselle éco-responsable réutilisable sera adoptée pour le Festin des chef.fe.s !
Plus d’infos et vos pass sur la billetterie en ligne. Le camping est gratuit pour tous les festivaliers.
À quelques jours de sa fermeturepour plusieurs mois de travaux de modernisation, le Rex Club présente un ouvrage de 496 pages d’images en noir et blanc pour retracer les 35 dernières années du club historique de la scène parisienne.
Après les compilations House et Techno parues récemment pour saluer les meilleurs titres joués entre ses murs, le Rex sort son premier ouvrage intitulé Rex Club 1988 – 2023. À l’occasion de ses 35 ans, les sous-sols du bâtiment classé à l’inventaire des Monuments historiques vont aussi faire peau neuve avec 4 mois de travaux de rénovation.
Un carnet de souvenirs qui restitue l’ADN du club
Pour la petite histoire, le projet Rex Club 1988 – 2023 naît en plein confinement. À l’époque, l’équipe du Rex souhaite profiter de sa fermeture pour le photographier et exposer au public ce qu’il n’était pas censé voir : une salle vide. À la tête de la direction artistique du club, Antoine Molkhou décide alors de se plonger dans les archives stockées dans des cartons empilés au coeur du « château », une grande pièce située dans les souterrains et de réunir une sélection de souvenirs dans un même recueil.
Définit comme un « catalogue de nostalgie », l’ouvrage est constitué à 99% d’images « bavardes » qui parlent d’elles-mêmes. Ce carnet de souvenirs de 496 pages en noir et blanc à la chronologie volontairement oubliée rassemble une sublime sélection d’images d’archives et de foules abstraites, de photos originales et cassettes aux formats démodés et de flyers des soirées les plus mémorables, sans oublier les objets trouvés qui témoignent des bouts d’existences laissés sur place.
Le seul texte de l’ouvrage est signé Ivan Smagghe, brillante figure de l’underground qui introduit l’ouvrage avec poésie. « Il n’y pas de texte dans ce livre, c’est de fragments dont il s’agit. », écrit le DJ et producteur français. « On y voit une volonté de ne rien imposer, de ne rien dire trop fort (la musique couvre les conversations), de vous laisser (vous) parler, une intention qui se définit par la création d’un manque, un puzzle dont chaque entrée payante possède quelques pièces : des morceaux, des noms, des nuits et des matins, des présences et quelques abonnés absents ».
Pour mener à bien ce projet, Antoine Molkhou a pu compter sur plusieurs collaborateurs comme Red Bull, l’agence Monsieur l’Agent et la marque de vêtements Carhartt.« Toute la boutique Carhartt de Bastille sera aux couleurs du club en fin de semaine », précise le directeur artistique.
En 1988, l’épopée électro du Rex débutait avec un genre nouveau venu tout droit de Chicago : l’Acid House. En 2023, lorsque les travaux seront terminés, le club mythique parisien ouvrira un nouveau chapitre de son histoire. Quoi de mieux que ce bel ouvrage pourvu d’images comme des fragments plus ou moins nets de la mémoire « pour figer des souvenirs, pour figer une histoire ».
Rendez-vous ce jeudi 25 mai au 27 Rue Notre Dame de Nazareth, 75003 Paris ou directement sur le site internet d’Oddity Paris pour vous procurer un exemplaire (35€).
La nouvelle expérience numérique Mini Moog Factory fête l’héritage du pionnier américain des synthétiseurs Bob Moog ainsi que le retour récent du fameux clavier synthétiseur analogique Minimoog Model D en s’inspirant des jeux vidéo et des sites web des années 90 !
Conçue pour donner accès à tous et à toutes à la riche histoire de la musique électronique à travers le prisme du Minimoog Model D, cette nouvelle expérience numérique hyper ludique permet de redécouvrir les musiciens, chansons, histoires et sons qui ont façonné des générations de musique. Le tout grâce à des applications et des activités inspirées par ce synthétiseur emblématique et les artistes qui l’ont adopté.
Pour donner vie à ce projet Moog s’est associé au studio de design indépendant Pentagram et à l’équipe de développement web Counterpoint. La direction du projet a été confiée à l’artiste sonore, concepteur et musicien électronique Yuri Suzuki qui a largement contribué à créer cette expérience unique.
Toute la team Dure Vie vous invite à visiter le site web et à vous plonger dans la découverte du Minimoog Model D, véritable témoignage de l’innovation et de la créativité de ses créateurs !
À l’approche de sa 27ème édition, Astropolis reprend ses quartiers au Kilomètre25 ce dimanche 28 mai avec un line up techno détonnant de David Vunk, Helena Hauff, Cuften et Sonic Crew pour un avant-goût des 5 jours de fête à venir au pays de Brest.
Quoi de mieux qu’une veille de jour férié pour une nuit qui promet de belles envolées sous le périph’ parisien ! À seulement quelques semaines de sa prochaine édition estivale, Astropolis débarque au bord du canal de l’Ourcq accompagné du pionnier de la scène techno & italo rotterdamoise David Vunk, du français Cuften, de la ponte allemande Helena Hauff sans oublier les fondateurs et résidents du festival, Sonic Crew.
Équipé depuis peu d’un sound system plus performant, le club à ciel ouvert du 19 ème arrondissement de Paris ne cesse d’affiner sa programmation underground. Après le passage de Ryan Elliott et Francesco Del Garda début mai pour les 10 ans de Dure Vie, la soirée d’Astropolis prévoit un mélange de vibes festives du party animal de Rotterdam, d’électro ésotérique et de techno.
Rendez-vous le 28 mai avec la toute première DJ féminine à avoir été nommée Essential Mix of the year de BBC radio, le fondateur de Moustache Records, le producteur normand pour un live machine aux synthés diaboliques ainsi que la team de bretons à l’origine de l’incontournable festival Astropolis.
Ça sent bon l’été ! Après les succès des deux dernières saisons à Nantes, les navires de La Belle Époque remettent les voiles sur l’Erdre tout l’été avec une quinzaine d’artistes house, funk et disco.
Sous l’impulsion de deux jeunes nantais, les croisières festives et ensoleillées La Belle Époque se sont très rapidement imposées comme l’un des rendez-vous incontournables du paysage house de la région Atlantique. Embarquement prévu sur l’une des plus belles rivières de France !
Pour cette nouvelle saison, plus d’une quinzaine d’artistes français, espagnols, anglais et belges se relayeront derrière les platines. Bonne nouvelle, les capitaines de bord 2023 ont déjà été annoncés : Tatie Dee et EG ouvriront le bal le vendredi 12 mai avec un B2B all night long à ne surtout pas manquer. Le dimanche 14 mai, l’espagnol Hurlee et le nantais Bijane prendront le relais pour une traversée toute aussi groovy.
Le deuxième évènement dominical de cette édition accueillera le 11 juin le producteur espagnol Tête de la Course et le jeune Nantais Silence Jules qui risquent bien de faire tanguer le bateau. S’y joignent le dimanche 9 juillet le collectif angevin D3 pour un all day long. Enfin, pour fêter la fin de la saison et la fin de l’été, deux événements de haute voltige auront lieu le vendredi 25 et le dimanche 27 août avec respectivement l’étoile Ricky Razu et le digger parisien Baz puis le producteur londonien Joe Corti et le duo de feu Floorfillers.
« Notre objectif : faire découvrir aux participant.e.s l’Erdre, partie intégrante dupaysage de la Cité des Ducs, et mettre en avant la scène électronique française eteuropéenne à travers des DJ sets principalement house, funk et disco », explique l’organisation. En supplément, des stands gratuits de paillettes et de dégustation de Lillet, de la food sucrée et salée, des cocktails de tout genre, des tatouages éphémères et un photobooth.
À noter également, un évènement spécial et gratuit se tiendra le samedi 22 juillet à l’occasion des deux ans de La Belle Époque.
À l’occasion de la sortie de son nouvel EP « Broken Piano » sur le label Helios Records le 9 juin prochain, on est allé poser quelques questions au performer live et producteur maître des sonorités acides Herr Krank.
Depuis quelques années, le producteur havrais est devenu l’un des princes de la nouvelle génération house française. Passionné des sonorités de Berlin, Herr Krank s’est rapidement façonné un style unique grâce à une musique organique et authentique qui fédère. Reconnu pour ses titres dépassant les millions de vues comme ‘Acid Jazz‘ et ‘Acid Piano Track‘, le fer de lance de l’écurie Chevry répond à nos questions sur son nouveau projet, fusion parfaite entre la violence et la douceur, la techno et la house.
Dans quel contexte as-tu réalisé cet EP (état d’esprit, origine du projet, fil conducteur…) ?
J’ai commencé à produire 2 des morceaux de cet Ep en 2017 (« Gros Kick Part I » et « Gros Kick Part II), avec l’idée folle de réunir les éléments rythmiques de la techno berlinoise qui m’inspire depuis tant d’années, et les codes mélodiques de la house et du jazz. Ce qui donne donc un son à la fois très percussif et complètement joyeux, bonne ambiance, good vibes.
Avec quelles machines as-tu travaillé ? Y’a t’il des samples ?
C’est pas très glamour mais je fais absolument tout à l’ordinateur la plupart du temps, j’ai appris avec l’expérience à reproduire les mélodies que je faisais au synthé à la souris, ce qui est très pratique car je peux désormais composer un son de A à Z dans le train, dans le bus, dans le rer et même sur mon nouveau yacht à Saint Barthélemy. Je n’ai samplé aucun morceau dans cet ep, j’utilise principalement les VST (Synthés virtuels)
Comment est ce que tu te sens niveau création en ce moment ?
Je produis vite et bien depuis quelques mois donc je suis très satisfait à l’heure actuelle, bien que ca puisse changer d’une semaine à l’autre. Généralement quand l’inspiration est là je me se sens pousser des ailes, je m’imagine déjà faire la première partie d’Amel Bent ou encore Soulja Boy au parc des Princes, mais quand elle disparait je me crois au fond du trou et je perds toute confiance en moi, parfois même je réfléchis à changer de métier.
Dans ton processus de production, par quoi commence tu tes tracks ? As-tu une routine composition ?
J’aime commencer par trouver une belle suite d’accords, c’est ça qui va m’inspirer pour toute la suite généralement, une fois que celle ci me parle suffisamment je m’occupe des éléments de batterie, puis vient la basse, puis une première mélodie de piano ou de synthé. Quand j’ai tout ça je peux commencer à faire un semblant de structure. Ensuite, je prend conscience que ce que j’ai fais est d’une médiocrité absolue alors je commence un nouveau projet, et ainsi de suite.
As-tu joué ces nouveaux morceaux en set ? Si oui, comment le public a-t-il réagi ?
Bien sûr, j’adore les tester en live. D’ailleurs ce qui m’inspire quand je fais des sons énergiques comme ceux là, c’est de penser au moment où je vais les jouer. La dernière fois que c’est arrivé, le public a immédiatement bien réagi, j’ai même eu la chance de recevoir des tomates et des peaux de bananes sur la scène par certains festivaliers qui souhaitaient exprimer leur enthousiasme et leur satisfaction.
As-tu d’autres sorties/projets planifiés pour cette année ?
Oui plein, trop même. Un EP avec Déborah Aime La Bagarre et des remixers de qualité d’ici fin juin, des remix surprise pour les mois de juillet et aout, et j’ai aussi 3 Ep de prêts que je vais répartir entre septembre et janvier.
Le 24 juin de 14h à 00h30, pour sa deuxième édition estivale de l’année, l’open air parisien Crème Sol-R s’installe de nouveau au cœur de l’ancien fort militaire d’Aubervilliers pour 10 heures de house et d’électro.
Après un premier volet de folie le 13 mai dernier marqué par les performances de ghostberlin, solalreyes, Nicolas Lutz et EG notamment, le collectif SOL-R s’empare à nouveau du Point Fort. Ce lieu culturel pluridisciplinaire inauguré en décembre 2021 se verra attribué 2 scènes pour l’occasion, la Sun Stage consacrée à la House music et la Moon Stage, aux sonorités plus dark entre électro et minimal.
Jeff The Fool, Evan Baggs, Quest, Muse About…
Animé par l’envie de donner de la couleur à nos soirées parisiennes, le collectif parisien tranche avec la vie nocturne actuelle : un doux mélange de House et d’Electro, le tout saupoudré d’un décor astral et d’une atmosphère unique. « L’idée maîtresse a toujours été de rassembler des personnes partageant une passion pour la musique, et de promouvoir une émulation artistique » affirment les organisateurs.
Pour cette édition, Sol-R invite Chevry Agency à prendre en charge la Sun Stage avec une programmation 100% française. Le DJ et producteur Deborah Aime La Bagarre partagera les platines avec le bisontin Jeff The Fool. À l’origine des événements Distrikt Paris, le DJ et producteur Bassam se produira lui aussi sur la scène House. Le franco-tunisien Marwan Sabb aka Muse About, llyes et son live chirurgical rempli de productions inédites et Gunnter ont aussi été annoncés sur la scène rayonnante.
Sur la Moon Stage, le digger dévoué et sélector hors pair des cercles souterrains Quest s’associera au ponte de la Techno Evan Baggs pour un b2b prolongé. Enfin, l’espagnol au parcours musical très varié J.C. et le DJ Onyish ont aussi été annoncé sous le chapiteau.
À deux pas de la station Fort d’Aubervilliers (ligne 12), Point Fort est un espace de plus de 4000m2 abritant un grand hall ouvert. Les espaces extérieurs accueilleront les stands, les activités, les foodtrucks et les bars à cocktails tout au long de l’événement. Au programme, shopping dans les boutiques éphémères 100% fait main et local, roue de la fortune, body painting ou encore parties de Molki et de pétanque !
Côté décors, l’obscurité de la scène de la lune avec les lunes gonflables géantes mappées en direct par Capsule Collectif complètera parfaitement les néons géants et les sunlights gonflables de la Sun Stage.
